Ensuite, lorsque Jésus quitta la Galilée et arriva sur les côtes de la Judée, au-delà du Jourdain, de grandes multitudes Le suivaient, «et là il guérit les malades. » (Matthieu 19:1-2). Les multitudes Le suivirent jusqu'à un endroit désert près de la ville de Bethsaïda, où Il leur enseigna au sujet du Royaume de Dieu et guérit tous ceux qui avaient besoin de guérison. «Les apôtres, étant de retour, racontèrent à Jésus tout ce qu'ils avaient fart. Il les prit avec lui; et se retira à l'écart, du côté d'une ville appelée Bethsaïda. Les foules , l'ayant su, le suivirent. Jésus les accueillit, et i 1 leur parlait du royaume de Dieu ; il guérit aussi ceux qui avaient besoin d'être guéris.» (Luc 9:10-11). Lorsque Jésus vit la grande multitude, Il ne les renvoya pas. Son coeur était touché de compassion et Il les guérit : «Quand il sortit de la barque, il vit une grande foule, et fut ému de compassion pour elle, et il guérit les malades.» (Matthieu 14:14). C'est ici, à Bethsaïda, qu'Il multiplia les cinq pains et les deux poissons pour nourrir cinq mille personnes, après avoir guéri les malades et avoir enseigné aux gens les principes du Royaume de Dieu. Lorsqu'Il vit leur grand besoin, Il n'hésita pas, ni ne les renvoya pour qu'ils reviennent à un autre moment. Il les reçut. Il leur fit amener les malades et les affligés et les guérit. Lorsque les disciples avaient voulu les renvoyer, Jésus les nourrit. Il n'y avait pas de limite au courant de la puissance de guérison de Dieu à travers Jésus. Sur le rivage ou sur la montagne, dans la ville, dans la Synagogue, en voyageant par les campagnes... où que ce. soit qu'on Lui amène les malades, ou qu'ils viennent pour être guéris... la force de guérison coulait de Lui, brisant les liens de la maladie et les guérissant ! Il n'y avait pas de maladie... pas de handicap physique... pas de maladie incurable... pas d'état fatal à long terme... rien qui puisse résister à Sa puissance de guérison ! Que ce soit la paralysie, une maladie du sang, l'hydropisie, la lèpre, la cécité, la surdité, la folie, ou tout autre anormalité physique, un contact... une parole de la bouche de Christ, Celui qui guérit, et la force de la maladie était brisée et ils étaient guéris. Cet article est tiré du livre CHRIST, CELUI QUI GUERIT par Morrice Cerulo
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